Forts de nos convictions communes et de notre diversité, nous voulons réaffirmer qu’il dépend de la volonté collective, politique et citoyenne, de nous mettre en mouvement pour agir en synergie et articuler les temps, les actions et les lieux d’éducation, multiples, mais tous complémentaires.
Travailler au développement de l’émancipation citoyenne dans le respect des principes de laïcité. Lutter contre les déterminismes, le tri social et le découragement. Participer à la refondation des politiques publiques d’éducation sur des bases nouvelles associant étroitement l’ensemble des institutions éducatives et culturelles, les familles, les collectivités, les associations et les jeunes.
Suite à la journée de réflexions autour des innovations et de l’approche des pédagogies et structures alternatives au sein de l'Espé de Caen, les Ceméa, la Fespi et le CIRNEF, organisateurs de la rencontre, publient les Actes du colloque du 18 mai 2018.
Les pédagogies dites "alternatives" connaissent un vif succès et se développent principalement dans le cadre de réseaux d'écoles privées en dehors de l'enseignement public. Ce développement de pratiques "innovantes" se construit également dans un rapport ambivalent aux mouvements associatifs d’Éducation populaire et d’Éducation nouvelle qui servent d’inspiration pour de nouvelles pratiques mais ne sont intégrés qu’à la marge dans ces nouvelles expérimentations. Ce constat nous a conduit à interroger les pratiques et propositions des mouvements pédagogiques issus du courant de l’Éducation nouvelle et à les mettre en perspective au regard des projets portés des établissements innovants dans des réseaux constitués.
Vous trouverez les Actes de cette journée qui restituent les contenus des interventions en cliquant sur le lien suivant :
https://yakamedia.cemea.asso.fr/univers/comprendre/des-ambitions-pour-lecole/innovations-lapproche-des-pedagogies-et-structures
Analyses et propositions du Collectif des Associations Partenaires de l’École publique (CAPE)
La coopération entre acteurs de l’éducation permet de penser un apprentissage à la fois théorique, opérationnel, et contextualisé... Penser la continuité du lien dans et hors la classe est une nécessité pour lutter contre le décrochage scolaire.
Les temps passés à et hors l’école, sont complémentaires et participent à la réussite des enfants et des jeunes. Nous proposons de mettre en cohérence les divers niveaux d’intervention au sein de projets éducatifs territoriaux qui prennent enfin en compte les besoins intellectuels, biologiques, affectifs et psychologiques des jeunes.
en nous appuyant sur la Convention internationale des droits de l'enfant de 1989.
COMMUNIQUE COMMUN – 10.04.2019
Suite à la demande d’audience formulée en février, une délégation représentative des organisateurs du Forum Maternelle* a été reçue début avril au ministère de l’Éducation nationale. L’occasion pour le collectif de « celles et ceux qui font la maternelle au quotidien » de rappeler les principales conclusions de l’évènement de novembre 2018 qui avait rassemblé les professionnels exclus des Assises de l’école maternelle : la nécessité conjuguée d’une meilleure connaissance du rôle et de la professionnalité des acteurs de terrain, d’une stabilité de missions ambitieuses mises en cohérence par les programmes 2015, et d’un renforcement des moyens humains et matériels.
Une autre ambition pour la maternelle
Dans un contexte de mobilisations unitaires contre un projet de loi pour l’école de la confiance, inapte à réduire les inégalités scolaires, la délégation a renouvelé ses exigences pour la maternelle : le maintien d’une structure du cycle 1 dotée de sa propre direction, des finalités éducatives qui embrassent toutes les dimensions du développement des jeunes élèves, le refus d’une simple subordination à l’élémentaire entretenue par l’exploitation des évaluations nationales CP, le développement des continuités et des collaborations inter-métiers dans le respect des prérogatives de chacun, l’amélioration significative des conditions de scolarisation (effectifs, locaux, ATSEM…) au sein du service public d’éducation et le déploiement d’une formation adaptée, mais sans spécialisation, ni minoration de l’enseignement en maternelle.
Des annonces inquiétantes confirmées
L’instruction obligatoire à trois ans ne peut tenir d’alpha et d’oméga au renforcement de la maternelle quand le ministère persiste à afficher une ambition à la petite semaine, circonscrite aux dimensions lexicales et affectives. La confirmation obtenue en séance de la prochaine modification des programmes 2015 et de la publication d’un fascicule, pendant du guide orange CP, conçues dans le secret, démontre le peu de crédit accordée à la consultation de la communauté éducative. Pour relever le défi de la réussite de tous, le débat mérite pourtant d’être mené.
Et si, d’après le ministère, le moratoire de deux ans sur les jardins d’enfants appelés à muter à l’issue en structures d’accueil de la petite enfance ou en écoles hors contrat n’est pas de nature à menacer l’existence même de la maternelle, plusieurs indicateurs pointés par le collectif en montrent la fragilité. Il en est ainsi du coup d’arrêt donné à la scolarisation des moins de trois ans, des centaines de suppressions de postes d’une maternelle qui paie le prix fort d’un financement insuffisant des dédoublements en éducation prioritaire, d’une formation en déshérence et d’un pilotage institutionnel de la grande section comme « classe préparatoire au CP ».
Un dialogue à instaurer
Face à un ministère préoccupé par la chasse aux fake news et qui considère qu’il a surtout à expliquer et convaincre plutôt qu’à prendre en compte les propositions alternatives du terrain, le Forum Maternelle est comptable de l’expertise pédagogique et éducative des professionnels. C’est bien la marche solitaire du ministère et l’opacité de ses projets qui entretiennent la circulation d’interprétations erronées auxquelles les analyses factuelles du collectif ne donnent pas prise.
Les réalités difficilement contestables d’une maternelle sous-investie mises en exergue par les organisations ont finalement contraint le ministère à formuler de timides propositions de concertation dont saura se saisir le Forum Maternelle, nourri de la dynamique inter-professionnelle de celles et ceux qui font vivre au quotidien l’école maternelle au service des enfants.
Analyses et propositions du Collectif des Associations Partenaires de l’École publique (CAPE)
Monsieur le Ministre de l’Éducation nationale,
Nous, membres d’associations, mouvements et syndicats, personnels d’enseignement et d'éducation, qui avons organisé le 17 novembre 2018 le « Forum de l’école maternelle par celles et ceux qui la font vivre »,
souhaitons vous faire part de nos inquiétudes face aux diverses annonces concernant des mesures que vous mettez ou que vous projetez de mettre en oeuvre à l’école maternelle (clarification des programmes, non développement de la scolarisation des moins de trois ans, apprentissage du langage centré sur l’acquisition du vocabulaire…). Nous affirmons que ces mesures ne sont pas de nature à permettre à tous les enfants de commencer sereinement leur scolarité.
Nous tenons à porter à votre connaissance les conclusions qui font consensus au sein de la communauté éducative pour conforter et renforcer l’école maternelle.
La reconnaissance du rôle de chaque acteur, de sa professionnalité
reconnaissance de l’expertise des enseignants, des ATSEM, de l’ensemble des professionnels intervenant sur les temps scolaires et périscolaires et de leur complémentarité ;
formations spécifiques et formations conjointes pour tous les professionnels : enseignants, ATSEM, éducateurs de jeunes enfants, animateurs, ainsi que responsables institutionnels ;
intervention d’enseignants spécialisés et psychologues scolaires des RASED comme structures-ressources agissant au croisement de différents univers : l’enfant et sa famille, l’école, l’équipe éducative, et parfois le
monde médicosocial ;
prise en compte des rythmes de vie de l’enfant de maternelle, appuyée sur une réflexion approfondie des besoins des jeunes enfants ;
renforcement de la coéducation, développement de relations constructives avec tous les parents, y compris ceux des milieux populaires ou qui vivent dans la grande pauvreté, à travers des formations, des projets accompagnés et des temps de rencontre.
Le maintien des programmes
maintien des programmes de 2015, qui ont été votés unanimement au CSE et font consensus au sein de la communauté éducative ;
mise en application réelle de la programmation par cycle qui permet la cohérence et la continuité dans les apprentissages ;
apprentissage effectif de tous les langages parce que tous sont fondamentaux à l’école maternelle : oral, écrit, corporel, artistique, scientifique par des activités de manipulation, observation, création, recherche, etc.
Des moyens humains et matériels renforcés
présence d’une ATSEM par classe sur la totalité du temps scolaire ;
scolarisation de tous les enfants dans des classes à effectif adapté (15 élèves en TPS et PS ; 20 en MS et GS) ;
développement des dispositifs dédiés à la scolarisation des enfants de moins de trois ans avec leur spécificité : personnels spécialisés dans la petite enfance, enseignants, formation ; effectifs, horaires et locaux aménagés.
Ces conclusions partagées constituent les axes prioritaires d’une évolution de l’école maternelle à laquelle tous les acteurs de la communauté éducative doivent être associés.
Dans cet objectif, nous vous demandons, Monsieur le Ministre, une audience afin de vous exposer nos positions et échanger à ce sujet avec vous.
Les organisations signataires
Construire une politique publique d’éducation doit interroger acteurs, structures et hiérarchies et faire appel aux compétences locales, pour favoriser une coordination éducative et pédagogique, à l’échelle des territoires.
mettre les projets en synergie. Privilégier le travail en équipe pluridisciplinaire pour adapter et mettre en cohérence les pratiques des éducateurs et professionnels de l’éducation.
Analyses et propositions du Collectif des Associations Partenaires de l’École publique (CAPE)
La loi pour une "École de la confiance" fait suite à une série de chantiers lancés par le ministère de l’Éducation nationale depuis deux ans : détricotage de réformes liées à la loi de refondation de 2013 (retour à la semaine de quatre jours, disparition du dispositif "plus de maîtres que de classes" au profit du dédoublement des CP et CE1 en REP+, remise en cause des programmes de 2015…), logique de concurrence entre établissements du second degré et disparition de toute politique volontariste de promotion de la mixité sociale et scolaire, pilotage et organisation de l’institution (réorganisation de la carte des rectorats et de l’organisation des services déconcentrés, réorganisation de la territorialisation notamment en éducation prioritaire)… Ces réformes passées à coup d’ordonnances ou d’amendements forment système et visent à transformer l’école pour adapter les élèves et leurs enseignants aux besoins d’une société libérale organisée autour de l’individualisme, la concurrence, la valorisation des héritages : tout se déroule sans concertation avec les acteurs impliqués mais en faisant appel à des "experts" chargés de concevoir et penser à la place des citoyens et des professionnels, réduits au rang d’exécutants soumis au contrôle et à l’évaluation.
Nous, GFEN, prenons la parole pour alerter sur les dangers de cette loi et dénoncer ce sabordage sans précédent de l'école publique, celle qui tant bien que mal, a cherché à relever le pari de la démocratisation, en défendant des valeurs dans lesquelles nous nous reconnaissons. Nous affirmons que tous les enfants sont capables de réussir à l'école, d’exercer une pensée critique et se former à un rapport au savoir distancié pour prendre pouvoir sur leur vie et sur le monde. Si nous dénonçons une démocratisation ségrégative de l’école, nous soutenons que celle-ci peut évoluer à condition qu’on forme les enseignants à des pratiques pédagogiques plus émancipatrices, à une analyse réflexive de situations scolaires dans des collectifs de travail internes aux établissements et dans le cadre d’une formation continue.
Pour un enseignement public de qualité…
Nous avons l’ambition d’un enseignement public de qualité qui ne se réduise pas à l’exécution de "bonnes pratiques" rythmées par des évaluations semestrielles standardisées qui ne tiennent pas compte de la diversité des approches pédagogiques. Comment ne pas craindre la mise en concurrence des établissements par la publicité des évaluations dans une logique de marché scolaire pour les familles ?
La terminologie utilisée a son importance : les sciences de l’éducation s’effacent au profit des sciences cognitives. La création du conseil scientifique de l’Éducation nationale chargé de l’élaboration d’outils et prescriptions se traduit par le développement d’injonctions pédagogiques rigides et descendantes notamment pour l’apprentissage de la lecture en privilégiant un protocole et sans prendre en compte des résultats d’autres recherches en ce domaine. Nous réaffirmons notre attachement à la liberté pédagogique permettant des controverses professionnelles fécondes. Or depuis peu les enseignants qui osent exprimer leur désaccord sont l’objet de menaces de plus en plus pressantes au nom du prétendu "devoir de réserve". Les injonctions successives et un contrôle excessif de leur application risquent d’entrainer une perte de la professionnalisation du métier d’enseignant tout en vidant de leur contenu les savoirs à enseigner. Parce que nous savons qu’apprendre est un processus qui nécessite du temps, un temps variable selon les individus, nous refusons l’imposition de repères annuels obligatoires au détriment de la logique des cycles institués par les programmes de 2015.
… non soumis à la marchandisation
Nous ne voulons pas d’une école soumise au marché. Le marché de l’école privée ne s’est jamais aussi bien porté. Les écoles dites alternatives fleurissent ainsi que les officines privées d’enseignement, de soutien scolaire et même de préparation aux concours de recrutement des professeurs. Dans les lycées, on profile de plus en plus les filières et les établissements au mépris de l’égalité territoriale et sociale ; de plus en plus d’établissements ont la liberté de recruter en fonction des projets, des spécificités affichées. Le délit d'initié qui permet aux familles les mieux dotées financièrement et culturellement d'adopter les stratégies "payantes" fonctionne largement ; il est amplifié par Parcoursup, par la réforme des programmes du lycée.
Enseigner, un métier qui s’apprend
Un enseignement de qualité passe par une formation des enseignants digne de ce nom. Les ESPE devenus Instituts nationaux du professorat et de l’éducation (INSPE) accueilleront des étudiants qu’on placera dès la seconde année de licence en pré-professionnalisation ; en effet l’article 14 du projet de loi prévoit de leur confier "des charges d’éducation, de pédagogie et d’enseignement". Ainsi, si cette loi est adoptée, ces missions pourront être confiées à des personnes n’ayant ni les savoirs ni les compétences pour les exercer. Le remplacement de professeurs par des AED - avec rémunération mais inférieure à celle d’un titulaire - peut-il être considéré comme une formation professionnelle même s’il s’agit de personnes souhaitant devenir enseignants ? Quel statut pour ces assistants d’éducation ni fonctionnaires, ni stagiaires mais corvéables à merci ? Présenté par le ministre comme un "très beau dispositif" et "éminemment social", il serait une possibilité d’accès au professorat pour des étudiants issus de milieux modestes ; on ne peut s’empêcher de penser qu’il s’agit là d’une façon de gérer la pénurie à moindre coût sans que les dispositifs de formation en soient consolidés pour autant.
Devenir enseignant ne s’improvise pas, c’est un métier difficile qui s’apprend. Ce n’est pas seulement savoir "gérer un groupe", "bricoler", "se débrouiller pour survivre", "acquérir quelques techniques et bonnes pratiques". Il ne s’agit pas seulement d’imiter sans réfléchir un collègue devenu tuteur mais d’appuyer son action sur trois piliers indissociables : pédagogie, didactique et savoirs disciplinaires. Si certains de ces jeunes étudiants "en apprentissage" seront affectés dans des équipes solides et étayantes, pour d’autres l’aventure sera semée d’obstacles car ils seront exposés aux difficultés rencontrées avec les élèves, les parents, l’institution. Et que dire des conséquences sur les apprentissages des élèves qui subiront les effets de ce déficit de formation sans parler de l’inquiétude de leurs parents ?
Ainsi sur fond d'accroissement inédit des inégalités sociales et de bouleversement généralisé du rapport au travail, on assiste à une profonde mutation de l'éducation, au niveau de son organisation structurelle et de ses contenus. Jamais le ministère de l'Éducation nationale n'a tenu aussi peu compte des professionnels de l'éducation et de leurs représentants, organisant de simples consultations, refusant le travail en commun ou la possibilité d'aborder certains sujets. Dans des termes législatifs ouvrant à l'interprétation discrétionnaire, la liberté pédagogique est interpellée et le "devoir de réserve" s'impose aux esprits chagrins. Si on ne peut s'exonérer du cadre défini par les instructions officielles, on voit mal comment assurer la formation de la personne et du citoyen - exigeant réflexion personnelle, créativité, échange et rationalité critique — en en privant les agents chargés d'y préparer les élèves !
La réduction des inégalités scolaires passe par une formation professionnelle de qualité et répondant aux besoins mais également par une égalité de traitement entre l’école publique ouverte à tous et les établissements dérogatoires à la carte scolaire tels que les Établissements Publics d’Enseignement International créant des filières internationales d’élite sélective dès le primaire dans toutes les grandes métropoles.
Si l’école est le creuset de la société, la question centrale à se poser est celle-ci : à quelle société souhaite-t-on former les élèves ?
(initiale et continue) de tous les intervenants, dont les enseignants. Savoirs, méthodes, pratiques, volontariat... La formation ne peut se faire en vase clos, dans une logique disciplinaire et/ou dogmatique. L’accueil dans des structures éducatives, l’accès à des activités culturelles et sportives de qualité nécessitent des animateurs compétents et formés. Leur expérience du quotidien confère à nos associations une expertise non négligeable. La formation ne peut se passer du capital de formation construit par des praticiens-chercheurs qui composent nos mouvements.
qui favorisent l’implication des jeunes, dans leurs apprentissages. Et renforcer une acquisition effective des contenus par les enfants et les jeunes grâce à des projets d’éducation globale et des pratiques vivantes au service du sens, complémentaires aux projets de l’école.
Nos associations contribuent à l’ouverture à l’Autre en favorisant le rapport aux œuvres, aux artistes et les pratiques en amateur. La culture est un bien commun dont l’accès à tous reste une des conditions de la démocratie, particulièrement à l’heure du défi de la mondialisation.
Association de la Fondation étudiante pour la Ville
Présidente : Nathalie Ménard
Directeur général : Christophe Paris
Adresse : 221, rue Lafayette - 75010 Paris
Téléphone : 01 40 36 01 01 - Courriel : pole.national@afev.org
Site : www.afev.org
L’Afev, Association de la Fondation Étudiante pour la Ville, est une association loi 1901 créée en août 1991. Sa création procède de la volonté de lutter contre les inégalités et la relégation dans les quartiers populaires en France, en créant, à côté des politiques publiques, des espaces d’engagement citoyen pour les jeunes, en général, et pour les étudiants, en particulier.
Association française pour la Lecture
Adresse : 65, rue des Cités - 93300 Aubervilliers
Téléphone : 01 48 11 02 30 - Courriel : afl@lecture.org
Site : www.lecture.org
L’Association Française pour la Lecture est, depuis 25 ans agréée "association éducative complémentaire de l'enseignement public". Reconnue comme mouvement pédagogique, elle fait converger ses efforts vers l’élévation du rapport à l’écrit dans le corps social, école comprise.
Présidente : Marie-Aleth Grard
Délégués nationaux : Guillaume Amorotti, Isabelle Bouyer et Paul Maréchal
Site : https://www.atd-quartmonde.fr/
Adresse : 63 rue Beaumarchais - 93100 Montreuil
Téléphone : 01 42 46 81 95
ATD Quart Monde a pour but d’éradiquer la misère en agissant sur trois plans :
Centre d'entraînement aux Méthodes d'Éducation active
Président : Philippe Meirieu
Directeur général : Jean-Luc Cazaillon
Adresse : 24, rue Marc Seguin - 75018 Paris
Téléphone : 01 53 26 24 24 - Courriel : accueil@cemea.asso.fr
Site web : www.cemea.asso.fr
Les CEMÉA, mouvement d’Éducation Nouvelle, association d’éducation populaire sont porteurs depuis plus de 80 ans, d’une large expérience sociale et collective.
Les Ceméa sont organisés en réseau national, européen et international. Leur projet s"appuie sur les valeurs de l’éducation nouvelle et la mise en action des individus, par les méthodes d’éducation active.
Les Ceméa sont un mouvement de personnes engagées dans des pratiques, pour transformer les milieux et les institutions. Il sont un organisme de formation offrant une diversité de stages ancrés dans les réalités quotidiennes du champ de l’éducation dans toute sa globalité.
Confédération nationale des Foyers ruraux
Président : Pascal Bailleau
Directeur coordinateur : Didier Perrot
Adresse : 17, rue Navoiseau - 93100 Montreuil
Téléphone : 01 43 60 14 20 - Courriel : cnfr@mouvement-rural.org
Site web : http://foyersruraux.fr/
Cercle de Recherche et d'Action pédagogiques - Cahiers pédagogiques
Présidente : Michèle Amiel
Rédactrice en chef : Cécile Blanchard
Adresse : 10, rue Chevreul - 75011 Paris
Téléphone : 01 43 48 22 30 - Courriel : crap@cahiers-pedagogiques.com
Site : www.cahiers-pedagogiques.com
Le Crap (Cercle de Recherche et d’Action Pédagogiques) est un mouvement pédagogique ouvert à tous les acteurs de l’école, de la maternelle à l’université. Il défend les valeurs de l’éducation nouvelle. Il milite pour une réelle démocratisation de l'école et une rénovation du métier d’enseignant.
Président : Laurent Dolias
Délégué général : Olivier Barbey
Adresse : 12, place Georges Pompidou - 93167 Noisy-le-Grand
Téléphone : 01 48 15 17 66 - Courriel : accueil.national@eedf.asso.fr
Site : www.eedf.fr
Fondée en 1911 l’association des Éclaireuses Éclaireurs de France (les Éclés pour les intimes) est un mouvement de scoutisme laïque inscrit dans l’éducation populaire et organisée en 22 régions et environ 250 structures locales d’activité réunissant 35 000 adhérents dont 4 000 cadres éducatifs et pédagogiques bénévoles.
Courriel : contact@ecolechangerdecap.net
Site web : http://www.ecolechangerdecap.net
Présidente : Françoise Sturbaut
Adresse : 35, rue du Puits Fouquet - 76113 Sahurs
Site web : http://www.educationetdevenir.net
Des enseignants, personnels d’éducation, cadres, proposant, agissant autour de l’éducation nouvelle, de la continuité pédagogique de la maternelle à l’université, de la mise en réseau des établissements, de leur autonomie effective avec un fonctionnement démocratique, participatif et représentatif, de leur ancrage dans les projets éducatifs des territoires. Un but : les objectifs fixés notamment par la loi de refondation de l’Ecole de 2013.
Fédération des Conseils de Parents d'élèves
Co-présidents : Rodrigo ARENAS et Carla DUGAULT
Adresse : 108-110, avenue Ledru-Rollin - 75011 Paris
Téléphone : 01 43 57 16 16
Site web : https://www.fcpe.asso.fr/
Président : Eddy Khaldi
Adresse : 124, rue Lafayette - 75010 Paris
Téléphone : 01 47 70 09 59 - Courriel : federation@dden-fed.org
Site web : http://www.dden-fed.org/
Président : Ardiouma Sirima
Téléphone : 01 42 58 68 06
Site web : www.ffpunesco.org
La Fédération Française des Clubs pour l’UNESCO (FFCU) est une association d’Education Populaire de loi 1901, fondée en 1956, dont l’objectif est de contribuer à développer une culture de paix. Elle promeut les valeurs de l’UNESCO auprès de la société civile, pour un monde plus digne, plus juste et plus solidaire, afin que tout un chacun puisse être acteur, s’émanciper et accéder à une meilleure compréhension du monde.
Présidente : Dominique Gillot
Directrice générale : Agnès Bathiany
Adresse : 5-7, rue Georges Enesco - 94026 Créteil Cedex
Téléphone : 01 41 78 92 60 - Courriel : accueil@lespep.org
Site : www.lespep.org
Les PEP (Pupilles de l’Enseignement Public), c’est un réseau de 123 associations de proximité fédérées au sein d’une Fédération Générale qui agit pour une société inclusive. Ces dernières années, elle a promu la notion de société inclusive, garante de l’accès de tous aux droits communs : droit à l’éducation, à la culture, aux loisirs, aux soins, à la vie sociale et à l’emploi.
Président : Yves Blein
Secrétaire général : Vincent Séguéla
Adresse : 150, rue des Poissonniers - 75018 Paris
Téléphone : 01 53 09 00 00 - Courriel : accueil.fll@leolagrange.org
Site web : www.leolagrange.org
Association d’éducation populaire reconnue d’utilité publique, la Fédération Léo Lagrange intervient dans les champs de la petite enfance, de l’animation et de la formation professionnelle et accompagne les acteurs publics dans la mise en œuvre de politiques éducatives, socioculturelles et d’insertion.
Président : Jean-Louis Davicino
Directeur général : Frédéric Thomain
Adresse : 2, place du Général Leclerc - 94130 Nogent-sur-Marne
Téléphone : 01 48 73 06 72
Site web : www.lescmr.asso.fr
Association reconnue d'intérêt général, les CMR sont agréés "association éducative complémentaire de l'enseignement public" et "jeunesse et éducation populaire" et bénéficient du soutien des ministères en charge de l'Education nationale - des Sports, de la Jeunesse, de l'Education populaire et de la Vie associative, et de la Culture et de la Communication.
Président : Michel Wawrzyniak
Directrice : Alexandra Christides
Adresse : 180, rue de Grenelle - 75007 Paris
Téléphone : 01 47 53 62 70 - Courriel : contact@ecoledesparents.org
Site : www.ecoledesparents.org
La Fédération des Ecoles des parents et des éducateurs (Fnepe) est une association loi 1901, reconnue d’utilité publique et agréée association de jeunesse, d’éducation populaire et complémentaire de l’enseignement public.
Par les Ecoles des parents et des éducateurs qu’elle fédère, elle est une association de services aux familles et aux éducateurs avec une pluralité de moyens.
Président : Pierre Ségura
Site web : www.lesfrancas.asso.fr
Les Francas sont une fédération nationale laïque de structures et d'activités dont la vocation est indissociablement éducative, sociale et culturelle. Ils agissent pour l'accès de tous les enfants et de tous les adolescents à des loisirs de qualité, en toute indépendance, et selon le principe fondateur de laïcité qui, au-delà de la tolérance, invite à comprendre l'autre, pour un respect mutuel.
Fédération des établissements scolaires publics innovants
Présidente : Catherine Noyer
Site web : www.fespi.fr
La FESPI a pour objet, dans le respect de la diversité de chacune des structures innovantes en faisant partie, de défendre, développer et promouvoir les établissements scolaires du secondaire publics et innovants.
Fédération des Associations régionales des Œuvres éducatives et de vacances de l'Éducation nationale
Président : Rémy Sueur
Directrice générale : Paula Harker
Adresse : 67, rue Vergniaud - Porte L - 75013 Paris
Téléphone : 01 45 88 62 77
Site web : www.aroeven.fr
Les militants, adhérents ou permanents, des Aroéven, s’inscrivent dans un mouvement d’action et de recherche pédagogiques qui milite pour une éducation permanente et globale. Ils sont porteurs d’un projet de changement de la société visant à plus de justice sociale à travers le droit à la réussite pour tous sans distinction aucune.
Groupe français d'Éducation nouvelle
Président : Jacques Bernardin
Adresse : 14, avenue Spinoza - 94200 Ivry-sur-Seine
Téléphone : 01 46 72 53 17 - Courriel : gfen@gfen.asso.fr
Site web : www.gfen.asso.fr
Le GFEN (Groupe Français d'Education Nouvelle) défend, contre l'esprit de fatalité, l'idée que l'Homme est responsable de son histoire ou qu'il peut le devenir. Son pari philosophique du « Tous capables » postule que chaque enfant, chaque adulte, chaque peuple a des capacités immenses pour comprendre et créer.
Institut coopératif de l'École moderne - Pédagogie Freinet
Présidente : Agnès Joyeux
Adresse : 10, chemin de la Roche Montigny - 44000 Nantes
Téléphone : 02 40 89 47 50
Site web : www.icem-pedagogie-freinet.org
L’Institut Coopératif de l’École Moderne (ICEM-Pédagogie Freinet) est une association créée en 1947 par Célestin Freinet rassemblant autour de lui un certain nombre de pionniers.
Aujourd'hui, agréée par les ministères de l'Éducation nationale et de la jeunesse et de la vie associative, l'ICEM regroupe des enseignants, des formateurs et des éducateurs autour des principes de la pédagogie Freinet.
L’association se donne pour objectifs la recherche et l'innovation pédagogiques, la diffusion de la pédagogie Freinet par l'organisation de stages, par la conception, la mise au point et l'expérimentation d’outils pédagogiques pour la classe, de revues documentaires pour les enfants, les jeunes et les enseignants, et l’édition de publications pédagogiques.
Présidente : Michèle Zwang-Graillot
Adresse : 3, rue Récamier - 75007 Paris
Téléphone : 01 43 58 95 00
Site : www.laligue.org
Mouvement laïque d'éducation populaire, la Ligue de l'enseignement propose des activités éducatives, culturelles, sportives et de loisirs. Elle regroupe, à travers 103 fédérations départementales, près de 30 000 associations locales, présentes dans 24 000 communes, et représentant 1,6 million d'adhérents.
Co-présidentes : Caroline Rebhi et Véronique Séhier
Adresse : 4, square Saint-Irénée - 75011 Paris
Téléphone : 01 48 07 29 10 - Courriel : secretariat@planning-familial.org
Site : http://www.planning-familial.org
Le Planning Familial est un mouvement militant qui prend en compte toutes les sexualités, défend le droit à la contraception, à l’avortement et à l’éducation à la sexualité. Il dénonce et combat toutes les formes de violences, lutte contre le SIDA et les IST, contre toutes les formes de discrimination et contre les inégalités sociales.
Office central de la Coopération à l'École
Président : Gérard Royer
Secrétaire général : Pierre Teuma
Adresse : 101 bis, rue du Ranelagh - 75016 Paris
Téléphone : 01 44 14 93 30
Site : www2.occe.coop
L’Office Central de la Coopération à l’Ecole est une fédération d’associations régionales et départementales qui regroupent les coopératives scolaires affiliées. L’OCCE, mouvement pédagogique, encourage et soutient la coopération comme valeur centrale à l’Ecole, et milite pour le développement de sa pratique. Il forme les enseignants, accompagne les coopératives sur les plans pédagogique et comptable, mène des actions locales et nationales, propose des outils coopératifs pour les élèves.
Président : Paul Fayolle
Coordinatrice administrative : Catherine Beaumont
Adresse : 108, rue Saint-Maur - 75011 Paris
Téléphone : 01 49 29 42 80
Site : www.peuple-et-culture.org
Peuple et Culture développe des démarches d’éducation populaire, favorisant l’éducation critique, l’autonomie, l’ouverture culturelle et interculturelle, la transmission des savoirs, le goût de l’expression et de l’action collective, de la créativité et du vivre ensemble.
Adresse : 3 bis, cours Blaise Pascal - 91000 Évry
Téléphone : 01 60 78 68 55 - Courriel : foresco@orange.fr
Site : www.rers-asso.org
Les "RÉSEAUX D'ÉCHANGES RÉCIPROQUES DE SAVOIRS® (R.É.R.S.)", groupes d'Éducation Populaire, sont constitués de citoyen(ne)s sans distinction d'âge, de conviction politique ou religieuse, ni d'origine culturelle ou sociale. Les R.É.R.S. ont pour but de permettre aux personnes de transmettre leurs savoirs et d'acquérir des savoirs dans un échange réciproque.