La situation de confinement que nous traversons nous oblige à repenser, à inventer nos modes de communication, nos façons de travailler pour continuer, malgré tout, à mener à garder le lien avec nos élèves, les bénévoles de nos organisations et les accompagner au mieux. Aux CEMEA, nous sommes choqués de recevoir quasi quotidiennement dans nos boîtes mails des soi-disant « guide de survie numérique en période de confinement », provenant souvent de « start-ups associatives » qui nous proposent pêle-mêle des solutions payantes, d’autres gratuites sans jamais faire référence à la façon dont seront traitées vos données, ni qui met en œuvre la solution proposée.
Association d’Éducation Populaire complémentaire de l’École Publique, toute cette première semaine, nous avons travaillé pour pouvoir être en mesure de vous proposer dès aujourd’hui une réelle solution numérique, adaptée à l’ÉCOLE pour la première et adaptée aux ASSOCIATIONS pour la seconde, garanties sans « polluants numériques » tout en accompagnant les enseignant.e.s, les responsables associatifs à distance pour leur prise en main.
Ce n’est surtout pas le moment de sacrifier votre vie privée, celle de vos élèves ou celle des bénévoles aux intérêts d’entreprises qui se réjouissent de l’opportunité qu’offre cette crise. En cette période de nécessaire solidarité, les CEMEA proposent gratuitement aux enseignant.e.s et aux responsables associatifs l’accès à l’ensemble des outils numériques essentiels à la vie virtuelle d’une classe ou d’une association via un Zourit.net adapté à chacune de ces deux entités . Nous assurerons aussi un accompagnement à distance pendant toute la durée du confinement plus un mois, tout en restant conscients que cette solution ne réglera pas les problèmes d’équipement ou de connexion de certains élèves ou de certains bénévoles.
Les documents joints à ce message présentent ces deux solutions complémentaires, l’une spécifique pour l’Ecole, l’autre à destination des associations de toutes tailles mobilisées aujourd’hui dans les dynamiques de solidarité à l’oeuvre dans notre pays.
Pour toute question relative à l’une ou l’autre de ces propositions, le contact est celui de Pascal GASCOIN pascal.gascoin@cemea.asso.fr
Du 23 au 28 février dernier, 12 membres du CAPE ont vécu un projet de mobilité, coordonné par les CEMÉA, à Lisbonne. Le GFEN, Éducation et Devenir, les Francas, la Ligue de l’enseignement, la FESPI, l’OCCE, FORESCO, le CRAP-Cahiers pédagogiques, la FGPEP, les CEMÉA et les EEDF étaient représentés dans ce groupe. Nous avons été accueillis par une association portugaise membre de la Fédération Internationale des CEMEA : le CLUBE Intercultural. Notre projet, soutenu par l’agence ERASMUS + portait sur deux intentions principales :
– Mieux comprendre comment se vit, comment s’exerce la complémentarité entre École et périscolaire dans le système éducatif portugais : place et rôle des acteurs agissant hors école (associations, …) dans l’éducation des enfants et des jeunes, nature des liens entre institution scolaire et acteurs hors école, les enjeux d’une éducation globale, les dynamiques de partenariat à l’échelle d’un territoire (quartier, ville,…), le rôle des collectivités dans la conduite de projet éducatif de territoire, la place des familles, etc.
– Mieux connaître les processus et dynamiques relatifs à la formation des enseignants : quel parcours, quels contenus, de formation initiale et continue, le déroulé de la formation initiale, place des acteurs associatifs dans le parcours de formation des enseignants, etc. Mais au-delà des enseignants, quelle formation des acteurs éducatifs (animateurs, éducateurs, …). y a-t-il des espaces communs de formation ? Sur quels enjeux, quels objets… Commun ces acteurs de l’éducation se connaissent-ils, comment apprennent-ils à travailler ensemble, …
Un blog a été alimenté au fil des jours. Il rend compte de nos rencontres, de nos découvertes. Il est accessible sur : https://sites.cemea.org/capemob/
COMMUNIQUE COMMUN – 10.04.2019
Suite à la demande d’audience formulée en février, une délégation représentative des organisateurs du Forum Maternelle* a été reçue début avril au ministère de l’Éducation nationale. L’occasion pour le collectif de « celles et ceux qui font la maternelle au quotidien » de rappeler les principales conclusions de l’évènement de novembre 2018 qui avait rassemblé les professionnels exclus des Assises de l’école maternelle : la nécessité conjuguée d’une meilleure connaissance du rôle et de la professionnalité des acteurs de terrain, d’une stabilité de missions ambitieuses mises en cohérence par les programmes 2015, et d’un renforcement des moyens humains et matériels.
Une autre ambition pour la maternelle
Dans un contexte de mobilisations unitaires contre un projet de loi pour l’école de la confiance, inapte à réduire les inégalités scolaires, la délégation a renouvelé ses exigences pour la maternelle : le maintien d’une structure du cycle 1 dotée de sa propre direction, des finalités éducatives qui embrassent toutes les dimensions du développement des jeunes élèves, le refus d’une simple subordination à l’élémentaire entretenue par l’exploitation des évaluations nationales CP, le développement des continuités et des collaborations inter-métiers dans le respect des prérogatives de chacun, l’amélioration significative des conditions de scolarisation (effectifs, locaux, ATSEM…) au sein du service public d’éducation et le déploiement d’une formation adaptée, mais sans spécialisation, ni minoration de l’enseignement en maternelle.
Des annonces inquiétantes confirmées
L’instruction obligatoire à trois ans ne peut tenir d’alpha et d’oméga au renforcement de la maternelle quand le ministère persiste à afficher une ambition à la petite semaine, circonscrite aux dimensions lexicales et affectives. La confirmation obtenue en séance de la prochaine modification des programmes 2015 et de la publication d’un fascicule, pendant du guide orange CP, conçues dans le secret, démontre le peu de crédit accordée à la consultation de la communauté éducative. Pour relever le défi de la réussite de tous, le débat mérite pourtant d’être mené.
Et si, d’après le ministère, le moratoire de deux ans sur les jardins d’enfants appelés à muter à l’issue en structures d’accueil de la petite enfance ou en écoles hors contrat n’est pas de nature à menacer l’existence même de la maternelle, plusieurs indicateurs pointés par le collectif en montrent la fragilité. Il en est ainsi du coup d’arrêt donné à la scolarisation des moins de trois ans, des centaines de suppressions de postes d’une maternelle qui paie le prix fort d’un financement insuffisant des dédoublements en éducation prioritaire, d’une formation en déshérence et d’un pilotage institutionnel de la grande section comme « classe préparatoire au CP ».
Un dialogue à instaurer
Face à un ministère préoccupé par la chasse aux fake news et qui considère qu’il a surtout à expliquer et convaincre plutôt qu’à prendre en compte les propositions alternatives du terrain, le Forum Maternelle est comptable de l’expertise pédagogique et éducative des professionnels. C’est bien la marche solitaire du ministère et l’opacité de ses projets qui entretiennent la circulation d’interprétations erronées auxquelles les analyses factuelles du collectif ne donnent pas prise.
Les réalités difficilement contestables d’une maternelle sous-investie mises en exergue par les organisations ont finalement contraint le ministère à formuler de timides propositions de concertation dont saura se saisir le Forum Maternelle, nourri de la dynamique inter-professionnelle de celles et ceux qui font vivre au quotidien l’école maternelle au service des enfants.
Courriel : contact@ecolechangerdecap.net
Site web : http://www.ecolechangerdecap.net
Suite à la journée de réflexions autour des innovations et de l’approche des pédagogies et structures alternatives au sein de l’Espé de Caen, les Ceméa, la Fespi et le CIRNEF, organisateurs de la rencontre, publient les Actes du colloque du 18 mai 2018.
Les pédagogies dites « alternatives » connaissent un vif succès et se développent principalement dans le cadre de réseaux d’écoles privées en dehors de l’enseignement public. Ce développement de pratiques « innovantes » se construit également dans un rapport ambivalent aux mouvements associatifs d’Éducation populaire et d’Éducation nouvelle qui servent d’inspiration pour de nouvelles pratiques mais ne sont intégrés qu’à la marge dans ces nouvelles expérimentations. Ce constat nous a conduit à interroger les pratiques et propositions des mouvements pédagogiques issus du courant de l’Éducation nouvelle et à les mettre en perspective au regard des projets portés des établissements innovants dans des réseaux constitués.
Vous trouverez les Actes de cette journée qui restituent les contenus des interventions en cliquant sur le lien suivant :
https://yakamedia.cemea.asso.fr/univers/comprendre/des-ambitions-pour-lecole/innovations-lapproche-des-pedagogies-et-structures
Analyses et propositions du Collectif des Associations Partenaires de l’École publique (CAPE)
A l’occasion du 30e anniversaire de la Convention internationale des droits de l’enfant, la Maison des Syndicats de Créteil accueillera le 3 avril 2019 de 14h à 19h la Galerie nationale des droits des enfants organisée par les Francas, une exposition d’affiches créées par des enfants, des adolescent.es et des jeunes dans le cadre de l’action « Agis pour tes Droits, de l’expression à l’action ».
« Agis pour tes Droits, de l’expression à l’action » est une action de promotion, de défense et de mise en œuvre des droits des enfants organisée par les Francas, partout en France métropolitaine et ultramarine, tout au long de l’année. Les enfants et les adolescent.es sont invités à réaliser une œuvre artistique autour de leurs droits.
Les Francas du Val-de-accueillent cette année la Galerie nationale des droits des enfants à la Maison des Syndicats de Créteil le mercredi 3 avril 2019 de 14h00 à 19h00. L’inauguration de la Galerie aura lieu à 17 heures.
Après avoir sélectionné les coups de cœur plastiques, sonores et filmiques lors de la nuit des droits des enfants organisée à Paris le 12 février 2019, la Galerie nationale des droits des enfants à Créteil permettra à un jury national et départemental de choisir les affiches coups de coeur parmi celles réalisées en 2018 par les enfants, les adolescent.es et les jeunes dans des centres de loisirs, des écoles et des établissements scolaires dans 50 départements.
Cette manifestation permettra de se rencontrer autour des productions des enfants. Elle favorisera les échanges sur les actions menées pour la défense des droits des enfants, la valorisation de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant et son application dans tous les territoires et dans tous les espaces éducatifs afin qu’elle soit le cadre de référence de toute action politique et éducative.
La galerie est ouverte aux groupes d’enfants et d’adolescent.es, avec notamment des ateliers ludiques sur les droits des enfants entre 14h00 et 16h15.
Contacts presse :
Fédération nationale des Francas : Sophie Dargelos – Tél. : 06 85 70 69 97 – sdargelos@francas.asso.fr
Les Francas du Val-de-Marne Ludmila Bureau – Tél. : 01 43 39 62 16 – ludmila.bureau@francas94.fr
La loi pour une « École de la confiance » fait suite à une série de chantiers lancés par le ministère de l’Éducation nationale depuis deux ans : détricotage de réformes liées à la loi de refondation de 2013 (retour à la semaine de quatre jours, disparition du dispositif « plus de maîtres que de classes » au profit du dédoublement des CP et CE1 en REP+, remise en cause des programmes de 2015…), logique de concurrence entre établissements du second degré et disparition de toute politique volontariste de promotion de la mixité sociale et scolaire, pilotage et organisation de l’institution (réorganisation de la carte des rectorats et de l’organisation des services déconcentrés, réorganisation de la territorialisation notamment en éducation prioritaire)… Ces réformes passées à coup d’ordonnances ou d’amendements forment système et visent à transformer l’école pour adapter les élèves et leurs enseignants aux besoins d’une société libérale organisée autour de l’individualisme, la concurrence, la valorisation des héritages : tout se déroule sans concertation avec les acteurs impliqués mais en faisant appel à des « experts » chargés de concevoir et penser à la place des citoyens et des professionnels, réduits au rang d’exécutants soumis au contrôle et à l’évaluation.
Nous, GFEN, prenons la parole pour alerter sur les dangers de cette loi et dénoncer ce sabordage sans précédent de l’école publique, celle qui tant bien que mal, a cherché à relever le pari de la démocratisation, en défendant des valeurs dans lesquelles nous nous reconnaissons. Nous affirmons que tous les enfants sont capables de réussir à l’école, d’exercer une pensée critique et se former à un rapport au savoir distancié pour prendre pouvoir sur leur vie et sur le monde. Si nous dénonçons une démocratisation ségrégative de l’école, nous soutenons que celle-ci peut évoluer à condition qu’on forme les enseignants à des pratiques pédagogiques plus émancipatrices, à une analyse réflexive de situations scolaires dans des collectifs de travail internes aux établissements et dans le cadre d’une formation continue.
Pour un enseignement public de qualité…
Nous avons l’ambition d’un enseignement public de qualité qui ne se réduise pas à l’exécution de « bonnes pratiques » rythmées par des évaluations semestrielles standardisées qui ne tiennent pas compte de la diversité des approches pédagogiques. Comment ne pas craindre la mise en concurrence des établissements par la publicité des évaluations dans une logique de marché scolaire pour les familles ?
La terminologie utilisée a son importance : les sciences de l’éducation s’effacent au profit des sciences cognitives. La création du conseil scientifique de l’Éducation nationale chargé de l’élaboration d’outils et prescriptions se traduit par le développement d’injonctions pédagogiques rigides et descendantes notamment pour l’apprentissage de la lecture en privilégiant un protocole et sans prendre en compte des résultats d’autres recherches en ce domaine. Nous réaffirmons notre attachement à la liberté pédagogique permettant des controverses professionnelles fécondes. Or depuis peu les enseignants qui osent exprimer leur désaccord sont l’objet de menaces de plus en plus pressantes au nom du prétendu « devoir de réserve ». Les injonctions successives et un contrôle excessif de leur application risquent d’entrainer une perte de la professionnalisation du métier d’enseignant tout en vidant de leur contenu les savoirs à enseigner. Parce que nous savons qu’apprendre est un processus qui nécessite du temps, un temps variable selon les individus, nous refusons l’imposition de repères annuels obligatoires au détriment de la logique des cycles institués par les programmes de 2015.
… non soumis à la marchandisation
Nous ne voulons pas d’une école soumise au marché. Le marché de l’école privée ne s’est jamais aussi bien porté. Les écoles dites alternatives fleurissent ainsi que les officines privées d’enseignement, de soutien scolaire et même de préparation aux concours de recrutement des professeurs. Dans les lycées, on profile de plus en plus les filières et les établissements au mépris de l’égalité territoriale et sociale ; de plus en plus d’établissements ont la liberté de recruter en fonction des projets, des spécificités affichées. Le délit d’initié qui permet aux familles les mieux dotées financièrement et culturellement d’adopter les stratégies « payantes » fonctionne largement ; il est amplifié par Parcoursup, par la réforme des programmes du lycée.
Enseigner, un métier qui s’apprend
Un enseignement de qualité passe par une formation des enseignants digne de ce nom. Les ESPE devenus Instituts nationaux du professorat et de l’éducation (INSPE) accueilleront des étudiants qu’on placera dès la seconde année de licence en pré-professionnalisation ; en effet l’article 14 du projet de loi prévoit de leur confier « des charges d’éducation, de pédagogie et d’enseignement ». Ainsi, si cette loi est adoptée, ces missions pourront être confiées à des personnes n’ayant ni les savoirs ni les compétences pour les exercer. Le remplacement de professeurs par des AED – avec rémunération mais inférieure à celle d’un titulaire – peut-il être considéré comme une formation professionnelle même s’il s’agit de personnes souhaitant devenir enseignants ? Quel statut pour ces assistants d’éducation ni fonctionnaires, ni stagiaires mais corvéables à merci ? Présenté par le ministre comme un « très beau dispositif » et « éminemment social », il serait une possibilité d’accès au professorat pour des étudiants issus de milieux modestes ; on ne peut s’empêcher de penser qu’il s’agit là d’une façon de gérer la pénurie à moindre coût sans que les dispositifs de formation en soient consolidés pour autant.
Devenir enseignant ne s’improvise pas, c’est un métier difficile qui s’apprend. Ce n’est pas seulement savoir « gérer un groupe », « bricoler », « se débrouiller pour survivre », « acquérir quelques techniques et bonnes pratiques ». Il ne s’agit pas seulement d’imiter sans réfléchir un collègue devenu tuteur mais d’appuyer son action sur trois piliers indissociables : pédagogie, didactique et savoirs disciplinaires. Si certains de ces jeunes étudiants « en apprentissage » seront affectés dans des équipes solides et étayantes, pour d’autres l’aventure sera semée d’obstacles car ils seront exposés aux difficultés rencontrées avec les élèves, les parents, l’institution. Et que dire des conséquences sur les apprentissages des élèves qui subiront les effets de ce déficit de formation sans parler de l’inquiétude de leurs parents ?
Ainsi sur fond d’accroissement inédit des inégalités sociales et de bouleversement généralisé du rapport au travail, on assiste à une profonde mutation de l’éducation, au niveau de son organisation structurelle et de ses contenus. Jamais le ministère de l’Éducation nationale n’a tenu aussi peu compte des professionnels de l’éducation et de leurs représentants, organisant de simples consultations, refusant le travail en commun ou la possibilité d’aborder certains sujets. Dans des termes législatifs ouvrant à l’interprétation discrétionnaire, la liberté pédagogique est interpellée et le « devoir de réserve » s’impose aux esprits chagrins. Si on ne peut s’exonérer du cadre défini par les instructions officielles, on voit mal comment assurer la formation de la personne et du citoyen – exigeant réflexion personnelle, créativité, échange et rationalité critique — en en privant les agents chargés d’y préparer les élèves !
La réduction des inégalités scolaires passe par une formation professionnelle de qualité et répondant aux besoins mais également par une égalité de traitement entre l’école publique ouverte à tous et les établissements dérogatoires à la carte scolaire tels que les Établissements Publics d’Enseignement International créant des filières internationales d’élite sélective dès le primaire dans toutes les grandes métropoles.
Si l’école est le creuset de la société, la question centrale à se poser est celle-ci : à quelle société souhaite-t-on former les élèves ?
MODALITÉS PRATIQUES
La date : L’Assemblée Générale de l’association FORESCO (Formations réciproques, Échanges de savoirs, Créations collectives), est fixée aux :
Samedi 30 et dimanche 31 mars 2019.
Le lieu: AVIGNON (Vaucluse) Pour nos deux journées d’Assemblée Générale, le Rérs d’Avignon, nous a réservé des salles de réunion, au : Domaine de la Souvine. Route du Bel Air 84140 MONTFAVET .Très belle bâtisse du XVIIIe dans un parc clos à 10 mn du centre historique d’Avignon
Les repas: les repas du samedi midi et dimanche midi sont pris au domaine de la Souvine. Participation : 9 euros.
Le repas du samedi soir sera un repas partagé avec les spécialités de vos
régions.
L’hébergement. Sur place, au domaine de la Souvine. 64 lits répartis en chambre de deux à quatre lits. Les sanitaires et douches se trouvent à l’extérieur des chambres. Draps et couette fournis. Pas le linge de toilette. Nuit + petit-déjeuner : 15 euros.
Chez l’habitant, dans la mesure des places disponibles.
Pour faciliter l’organisation, merci de bien vouloir transmettre les
inscriptions aux repas et à l’hébergement, avant le 2 mars à :
Réciprok’Savoirs, chez Mme Geneviève CLERGIRONNET
9 rue Henri Revoil – Montfavet – 84140 AVIGNON.